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vendredi, mars 18, 2005

There’s a monkey on my back…

Un refrain lancinant de la chanson monkey 23 du premier album des kills, keep on the mean side. Ai vu le film « De battre mon cœur s’est arrêté » mercredi après midi où cette chanson est présente. Ca m’a fait réécouter l’album en boucle ces deux derniers jours. J’adore la violence et l’énergie des premières chansons, leur sauvagerie, la désillusion, le désespoir et la rage qui s’en dégage. Progressivement la mélancolie s’installe vers les dernières chansons, avec une tristesse froide et lucide, mâtinée d’un peu plus de douceur mais la fermeté de la voix de la chanteuse est tout aussi intacte.
Les paroles sont simples et presque inexistantes. Le riff de guitare et la voix sont magnifiques. Je n’arrive pas à me lasser de cette chanson pour le moment.

Moi aussi j’ai un poids qui me pèse. J’ai plein de pistes pour l’année prochaine pour ma thèse. J’ai même un entretien pour celle qui me plairait le plus, Florence dans deux semaines. Mais je ne suis pas sûr de réussir, et je suis en concurrence avec un ami de ma classe. S’il y en a un qui réussi il sera seul. Mais ce n’est pas ça le problème. Si je réussis je serais loin d’A. pour quatre ans. Florence/Bruxelles c’est pas la porte à côté. Ça voudra dire que ce sera fini entre nous. Je m’interroge sur notre relation, ça va faire un an qu’on est ensemble maintenant. On a vécu trois mois dans la même ville. On a passé plus de temps chacun de notre côté qu’ensemble. Je ne sais pas si ça me dérange. Je ne crois pas en fait. C’est la première fois que je reste aussi longtemps avec quelqu’un. Est-ce qu’on peut construire quelque chose comme ça ? J’ai l’impression que même éloigné on se rapproche quand même en se téléphonant je connais sa vie et il connaît à peu près la mienne. Et on se voit régulièrement quand même.
Parfois je me demande si on n’est pas lâches et qu’on ne coupe pas le cordon pour ne pas être seul ? C’est si facile de mettre une croix dans la case « déjà pris » pour ne pas se retrouver dans l’incertitude du célibat.
Ça dépend des moments, il me manque parfois tellement... c’est la première fois que j’éprouve ça pour quelqu’un. Mais des fois c’est vrai que le réflexe de penser à lui ou de lui téléphoner est automatique, à la limite pavlovien. Je déteste ça et c’est là où je commence à me poser des questions.

Ça va faire un mois que je ne l’ai pas vu. Pourvu qu’il puisse venir le week-end prochain...
J’ai tellement envie de le serrer contre moi.

Posted by Endy at 21:34

 
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