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L’informatique vous a toujours posé des problèmes, vous avez perdu un nombre incalculable de fois votre travail et vous êtes un adepte inconditionnel du fracassage de clavier à coup de poing pour apprendre à cette putain de machine qui est le maître.
Voilà qui peut vous consoler.
Cet homme a acheté un ordinateur et au vu de ses débuts dans l’informatique et de ses attentes, son portable ne va sûrement pas tarder à passer par la fenêtre.
On peut dire bravo au marketing et aux vendeurs d’avoir réussi à vendre ça à une telle personne. A mon avis, il a sûrement un peu trop abusé des pubs IBM et il a l’espoir de connecter son « entreprise » à Internet.
Bon c’est marrant de voir comment un objet courant peut se transformer dans un environnement particulier (la vieille tue tout et les trois se complètent). L’ordinateur est devenu quelque chose de complètement magique et même si ça ne marche pas il a les yeux qui brillent de pouvoir y toucher.
A votre avis quel sort va avoir l’ordinateur ?
Posted by Endy at 16:15
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Une petite devinette avant d’aller se coucher
Je suis un film (attention petit scarabée, plus tu lis d’indices, plus tu perds des points…)
- Un gangster qui tabasse un chauffard et le menace d’un flingue après une course poursuite échevelée pour lui apprendre à ne pas coller au pare choc
- Un film où le « héros » disparaît au milieu de film d’une cellule de haute sécurité pour réapparaître tout nu dans le désert à la fin.
- Où le personnage féminin principal passe de salope introvertie brune à … pute allumeuse blonde (après une brève transition où on la retrouve littéralement en petits morceaux)
- « This guy sees more pussies than a toilet seat »
- Une scène d’amour kitch avec une chanson kitch (« Song to the Siren » de Mortar Coil) dans le désert et dans la lumière des phares que l’on ne peut s’empêcher d’adorer.
- RaaaamSTEIN
- Une histoire en ruban de Möbius (et la fin qui se finit bien est au milieu)
- Un dernier pour l’autoroute ? perdu… (je suis nul en jeu de mots)
Mon tout est un film génial sorti déjà depuis quelques années qui me fait toujours frissonner quand je le vois et qui remplit encore une salle de ciné un mercredi soir à 22h (bon d’accord une petite salle).
Une idée ?
Posted by Endy at 10:33
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Tout est bien qui finit bien… (Où l’on voit que parfois la préparation est importante)
…allongé dans le lit, les reins cambrés contre son bas ventre, je sens sa queue bien dure contre mes fesses, il m’embrasse dans le cou et je n’ai plus qu’une seule envie, le sentir en moi.
Je n’ai qu’à tendre la main pour ouvrir le tiroir de la commode où attendent bien sagement des préservatifs et un flacon de gel flambant neuf.
Je tourne la tête et embrasse mon amant, tout en essayant d’arracher sans regarder l’enveloppe plastique qui bloque l’appui du bouchon. Peine perdue.
Je le masturbe doucement tout en essayant d’arracher le putain de plastique entre mes dents. Un morceau me reste dans la bouche que j’essaie de recracher avec distinction avant de l’embrasser en nouveau. Trop sexy.
La moitié supérieure du plastique est partie maintenant, mais la bataille m’a coûté la moitié de mon érection. Je prend sa main pour la mettre sur ma queue et il me branle doucement. J’essaie de faire fonctionner le tube, sans résultat, le plastique restant empêchant toujours la pompe de descendre.
Fini les compromis, ça va saigner maintenant… Attaquant rageusement le flacon avec mes crocs, je sens la victoire proche, et l’ennemi faiblir, (ma bite aussi d’ailleurs)…et je me retrouve avec le capuchon entre les dents et le plastique restant fièrement à sa place qui semble me narguer. Je ne peux pas m’empêcher d’éclater de rire et mon copain aussi. Heureusement, il reste toujours sous l’effet d’une rigidité toute allemande. Je le reprends quand même en main pour m’assurer de sa coopération future et de l’autre j’arrive enfin à me débarrasser du plastique maudit…
La conclusion est proche, baisers et caresses pour ranimer le désir quelque peu éteint. Quelques petits râles de plaisir et une extension discrète des bras pour essayer de retrouver le bouchon et le préservatif perdus sous les draps. Le tube ayant retrouvé son intégrité, je récompense mon amour pour sa ténacité en lui enduisant doucement son gland de gel du bout des doigts.
Phase 1 terminée.
Le préservatif maintenant. Pas facile d’ouvrir l’emballage avec des mains qui glissent. Je me colle contre lui et le couvre de baisers en en profitant discrètement pour m’essuyer les deux mains sur l’oreiller.
La victoire est proche, le dernier obstacle vaincu, je n’ai plus qu’à habiller mon amour pour la joute suivante. Après une dernière utilisation du flacon de gel devenu désormais coopératif, les choses sérieuses peuvent enfin commencer…
Posted by Endy at 03:55
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Closer, une semi-croûte ?
J’ai été voir Closer malgré toutes les critiques négatives que j’en ai eu et pour décompresser après un partiel de… 2h (suis une petite nature moi) et surtout pour avoir un prétexte de ne pas réviser pour le prochain.
Du sexe, des mots crus, de la trahison, de la lâcheté et de la cruauté… yavait marqué sur la boîte. Tout ce que j’aime !
Sauf que… le film est mal foutu.
Pas une scène de sexe alors que le film est centré sur ça. Comme dans la scène du bar à putes, on regarde mais on ne touche pas. Ca semble d'abord séduisant. On émoustille le spectateur et on lui laisse la liberté d'imaginer ce qu’il veut et à donner plus de piquant à la chose…
Mais pas de ça chez nous. Le problème vient des dialogues qui ne laissent plus rien à imaginer. "Suivez moi les enfants et restez bien dans les clous ". Jude Law baise comme une fille, Julia Robert aime les plans crades (sur le plan moral seulement bien sûr, on reste propre s’il vous plaît), Portman la salope qui allume et qui ne se démasque jamais (à par une fois) et Owen qui baise au marteau piqueur.
Seul point positif, le personnage de Larry joué par Clive Owen, un primaire raffiné qui l’assume, reste fragile quand il faut, rusé et manipulateur. Bien sûr lu comme ça, ça ne semble pas très crédible. Mais Owen rend tout ça parfaitement et j’ai vraiment aimé son personnage. C’est lui qui sauve le film.
Posted by Endy at 03:13
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Aujourd'hui journée révisions...ou pas
La radio s'allume à 8h. Je me réveille et j'écoute un petit moment. Je prends mon petit déjeuner et un ami m'appelle. En me quittant il me dit qu'il va manger. Si tôt? Eh oui il est midi.
Bon on va s'y mettre sérieusement maintenant, et pourquoi pas aller au cinéma pour bien commencer la journée? Ca devait être La raison du plus fort mais manifestation+mecs du sud bizarres dans le métro qui chantent des chansons paillardes = en retard (peut-être aussi parce que je suis parti quand le film commençait en fait) c'est devenu The edukators.
Un petit serrement au coeur car le film est en allemand et que ça me fait penser à A. mais tout va bien le film est pas trop mal. Un peu trop optimiste et simpliste à mon goût : les méchants vieux capitalistes, les jeunes et beaux révolutionnaires sex powered (avec partouse en option), comment essayer de rester pur et de garder ses idéaux...
Ca m'a quand même fait du mal car je réalise de plus en plus que je m'achète quelques minutes de bonheur à chaque fois que je m'achète quelque chose de nouveau, et que ce plaisir est de plus en plus fugace, mais qui n'est pas dans ce cas? J'ai personne contre qui me révolter et pas les couilles pour ça. Je suis bien intégré dans le système et j'ai intégré toutes ses valeurs consuméristes, même si ça me dégoûte quand je m'en rends compte.
Le reste de la journée est passée comme dans un rêve, courses et glandé chez moi à lire et regarder des trucs sur l’ordi. 23h30 et j’ai pas vu le temps passer…
C’est pour demain les révisions…
Posted by Endy at 08:54
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